C’est en compagnie de : Marianne, Mo’, Marie-France, Isaline, Vincent et Valdo que notre jeudi s’est évaporé en mots tendres mais aussi en lutte féminine.
Comment interpréter cette phrase ? : La personne qui aime est toujours la plus forte » écrite par son auteur avec certitude. Et la jalousie dans tout ça existe-t-elle vraiment entre père et fille ? N’est-elle pas un prétexte conservateur ? L’analyse peut être longue mais reste insondable finalement. L’enfance coloniale, mieux qu’un document, un témoignage peut éclairer davantage lorsqu’il est ancré ou encré définitivement sur le papier. On aura aussi appris que la déportation n’avait pas tout pris, que des écrits se sont glissés dans des valises et qu’ils ont été sauvés plus que l’homme en chair. La comédie humaine est un art dramatique, elle est nourrie par toutes les épreuves de la vie et des aventures romanesques surgissent au fil des pages. Allez ! On se jette à l’eau avec une Jet Set au 18ème siècle se pavanant sur les plages de Normandie, ou en Bretagne, plus sage au pied d’un chêne, mais attention au loup ! Deux peut être ?
Les auteurs et leurs œuvres présentés sont :
« Les prénoms épicènes » de Amélie NOTHOMB
« Et soudain la liberté » de Evelyne PISIER et Caroline LAURENT (seconde lecture)
« Chaleur du sang » de Irène NEMIROVSKI
« La Jet Set se jette à l’eau » et Le chêne au loup » Histoires Insolites de nos Régions
« Conseils et secrets d’écriture » extrait interview de Françoise SAGAN qui nous dit :
L’écrivain est un pauvre animal enfermé dans une cage avec lui-même.