Cet après-midi c’était presque la parité lectrices et lecteurs avec : Marianne, Françoise, Marie-France, Isaline, Jean-Marie, Jean et Vincent.

 Que serait la Bretagne sans ses sortilèges et ses superstitions qui enchantent les auteurs de légendes ? Attention à l’ANKOU ! Ailleurs aussi, loin en Haïti, on peut rêver à un devenir mais il passe par l’engagement politique, le message d’espoir n’a pas de frontière. Et quand la chanson, vecteur venant déranger les bien-pensants, ah ! Quelle explosion d’impertinence, de cynisme, de sensualité ! Certains écrivains peuvent être intrigants, énigmatiques, mystérieux, brisés, quand d’autres se libèrent presque outrageusement en se livrant dans des pages sulfureuses, mais la littérature est faite aussi de toutes ces composantes et indubitablement aussi de souvenirs percutants.

 De grands noms se sont glissés dans nos lectures :

 « Fleur de Tonnerre » de Jean TEULE

« Ne m’appelle pas capitaine » de Lyonel TROUILLOT

 « L’enterrement de Paul FORT & le Cauchemar » de Georges BRASSENS

« Je n’ai aimé que vous » de Marie-France PISIER

« L’infamille » de Christophe HONORE

« La Valse Nue » – seconde lecture – de Phil BARON

« Anaïs Nin – La Vénus Erotica » de Henri de BEUVEUGE (biographie condensée)

« Henry Miller » de Henri de BEUVEUGE (biographie condensée)

 Et je vous laisse méditer sur des maximes glanées au cours de nos lectures :

 « Partir, c’est mourir un peu » de Edmond HARAUCOURT *

« Essayer, c’est l’alibi des paresseux » de Lyonel TROUILLOT