Aujourd’hui nous nous sommes appropriés des œuvres fortes en humanité, en compagnie de : Marianne, Mo’, Marie-France, Françoise, Isaline, Vincent et Valdo.

Les silences qui en disent long sur les secrets de famille restent souvent enfouis à tout jamais, mais quand on est écrivain a-t-on le droit de s’en servir et les coucher là sur le papier et de les livrer ? Doit-on fuir le monde pour s’en libérer, les ailleurs sont-ils meilleurs ? Pas toujours lorsque surgissent des passés composés de l’Histoire et de ses drames. La disparition d’un Etre cher est-il vraiment un deuil dès lors que la pensée reste présente comme un cadeau de la vie ? Comment gérer l’absence définitive ? Science et littérature sont-elles liées dans la recherche ? Peut-on aussi casser les codes de la littérature et inventer un autre langage écrit ? L’art poétique apporte le suc des sentiments et s’engage à bouleverser l’âme. La place de la femme de lettres se résume t’elle en une indépendance totale et non parasitée afin d’accéder à sa liberté ?

Toutes ces questions existentialistes ont été développées avec passion avec les œuvres et leurs auteurs suivants :

«Rien ne s’oppose à la nuit» de Delphine de VIGAN

«Chien-Loup» de Serge JONCOUR

«E-Mû- E» de Caroline CROZAT (poésie et éloge du chant) magnifique poésie engagée et contemporaine.

«L’instant fatal» de Raymond QUENEAU

«L’arbre du pays Toraja» de Philippe CLAUDEL

«La vagabonde» de COLETTE

«Mille et cent ans de Poésie Française» anthologie dirigée par Bernard DELVAILLE