Nous avons commencé par une petite revue de presse littéraire et nous sommes rentrés dans l’univers d’écrivains célèbres des siècles passés que d’autres écrivains contemporains ont tenté, avec brio, d’écrire à leur façon avec le sujet du confinement, une idée très originale et surprenante. Puis la poésie, avec un instant suspendu, s’est approchée pour d’autres ailleurs. A Cayenne on apprivoise la nuit et la vie est la plus forte. Une passerelle entre les civilisations apportée par l’écrivain voyageur qui nous a fait partager sa quête. Puis cette rencontre d’un inconnu providentiel et ambigu souillé par l’argent. Rencontre aussi au Japon d’un homme singulier à la séduction irrésistible. Puis une enquête malmenée sur la disparition d’une femme reste énigmatique. Et cet homme ancien chirurgien âgé de 90 ans qui choisit 4 personnes aussi diverses que possible pour terminer sa vie dans sa grande maison, une façon de voir autrement et de sortir du formatage proposé en maison de retraite si l’on est aisé. Puis ces quarante bonnes nouvelles propres aux conversations téléphoniques, mais que peut-on raconter ?
Les ouvrages, journaux et magazines proposés :
« Le Nouvel Obs » ses pages littéraires «pastiches » de FLAUBERT, CELINE, PASCAL, PROUST, COMTESSE DE SEGUE, RONSARD, BLONDIN… (30 avril/06 mai 2020) exceptionnel !
« Le monde silencieux » de Jeffrey McDANIEL traduit de « The Quiet World » paru dans le 1.
« Nuit d’épine » de Christiane TAUBIRA
« Les dames de nages » de Bernard GIRAUDEAU
« Un profil perdu » de Françoise SAGAN
« Ni d’Eve ni d’Adam » de Amélie NOTHOMB
« Encre sympathique » de Patrick MODIANO
« Profanes » de Jeanne BENAMEUR
« Ne quittez pas ! » de Marie SIZUN