Adieu 2018, bonjour 2019 ! Nous avons fêté la nouvelle année qui se veut littéraire tous les jeudis avec : Marianne, Mo’, Françoise, Isaline, Vincent et Valdo.

Nos lectures se sont portées vers des horizons très divers. En Afrique à la saison des pluies où les cigognes sont immortelles, évocation de l’ancien Congo au temps de sa colonisation. Puis, plus douloureusement, d’un enlèvement d’une famille entière captive dans le désert, avec une écriture où les silences sont des prières et où l’identité n’est plus. Quant à la naissance du « capitalisme » elle a eu son heure de gloire au cours du 17ème siècle quant les meuniers apportaient leur contribution prospère, une corporation dont on est loin d’imaginer sa puissance, est-ce de cela que vient l’expression : apporter de l’eau au moulin ? Non puisqu’elle date du 12ème siècle. Quant au Roi Soleil, fin gourmet, savait en son temps du 16ème siècle, apprécier les Grands Chefs, mais ses somptueux banquets auront eu raison de François Vatel et de ses desserts. Restons dans le festif avec les bars, ceux des lieux de perdition des marins et pourquoi pas pour y retrouver un amour daté mais vrai. Un peu de poésie avec la sortie d’une anthologie où de magnifiques plumes ont habillé un si beau florilège. Le pamphlet était aussi de la fête et pourquoi pas ?

Nous avons regardé le recto : la couverture, et lu le verso : la quatrième de chaque ouvrage et avons été partagés sur les différents styles de romans dont certains étaient initiatiques.

Les auteurs et leurs œuvres :

« Les cigognes sont immortelles » de Alain MABANCKOU

« Comment Baptiste est mort » de Alain BLUTTIERE

« Histoire du capitalisme » et « Chantilly dans l’Oise », de la collection :

   Petites histoires insolites de nos régions.

« L’arrière saison » de Philippe BESSON

« Les cinq parties du monde » de Gérard MORDILLAT

« Filets de Macron » de Laurent GERRA

« Florilège » anthologie de la SOCIETE DES AUTEURS ET POETES DE LA FRANCOPHONIE