A la Coquille, en extérieur, où nous avons déployé toute notre énergie créatrice en compagnie de : Marie-France, Françoise, Clo, Isaline, Moumoune, Rose et Vincent.

En « avant-première » nous avons eu la joie de recevoir le tapuscrit de Vincent, que Clo avait lu en nous apportant sa joie à la lecture des ses nouvelles. Nous espérons qu’un éditeur saura happer notre écrivain pour une publication comme le mérite de très beaux recueils de 20 textes inédits.
« Écrire, c’est jouer avec le silence, c’est dire, de manière détournée, des secrets indicibles dans la vie réelle. » Comme un écrivain qui pense que « toute audace véritable vient de l’intérieur », Leïla Slimani préfère la solitude à la distraction. Pourquoi alors accepter cette proposition d’une nuit blanche à la Pointe de la Douane, à Venise, dans les collections d’art de la Fondation Pinault, qui ne lui parlent guère ? Autour de cette « impossibilité » d’un livre, avec un art subtil de digresser dans la nuit vénitienne, Leïla Slimani nous parle d’elle, de l’enfermement, du mouvement, du voyage, de l’intimité, de l’identité, de l’entre-deux, entre Orient et Occident, où elle navigue et chaloupe, comme Venise à la Pointe de la Douane.
Le retour de Harry Quebert : Avril 1999. Mount Pleasant, une paisible petite bourgade du New Hampshire, est bouleversée par un meurtre. Le corps d’Alaska Sanders, arrivée depuis peu dans la ville, est retrouvé au bord d’un lac. L’enquête est rapidement bouclée, puis classée, même si sa conclusion est marquée par un nouvel épisode tragique. Mais onze ans plus tard, l’affaire rebondit. Début 2010, le sergent Perry Gahalowood, de la police d’État du New Hampshire, persuadé d’avoir élucidé le crime à l’époque, reçoit une lettre anonyme qui le trouble. Et s’il avait suivi une fausse piste ?
Son ami l’écrivain Marcus Goldman, qui vient de remporter un immense succès avec La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert, va lui prêter main forte pour découvrir la vérité. Les fantômes du passé vont resurgir, et parmi eux celui de Harry Quebert.
Il est peut-être né le jour de la mort de Jeanne d’Arc. On a pendu son père et supplicié sa mère. Il a appris le grec et le latin à l’université de Paris. Il a joui, menti, volé dès son plus jeune âge. Il a fréquenté les miséreux et les nantis, les étudiants, les curés, les prostituées, les assassins, les poètes et les rois. Aucun sentiment humain ne lui était étranger. Des plus sublimes aux plus atroces, il a commis tous les actes qu’un homme peut commettre. Il a traversé comme un météore trente années de l’histoire de son temps et a disparu un matin sur la route d’Orléans. Il a donné au monde des poèmes puissants et mystérieux, et ouvert cette voie somptueuse qu’emprunteront à sa suite tous les autres poètes avides de l’absolue liberté.

Les ouvrages et leurs auteurs présentés ce jour :

« Démineurs de rien » de Vincent LARNICOL – tapuscrit – en attente d’édition
« Le parfum des fleurs la nuit » de Leila SLIMANI
« L’affaire Alaska Sanders » de Joël DICKER (déjà évoquée) lecture 2 autre regard.
« Je, François Villon » de Jean TEULE (Teulé)

Notre prochain rendez-vous aura lieu jeudi 12 mai 2022 à La Coquille à 15 h.